Le SNES-FSU avait écrit à la Ministre en novembre pour lui demander de tenir compte, pour l’établissement du calendrier de juin 2017, des ratés de la session 2016 et de la hausse des effectifs pour 2017 (plus 4,7 % en Terminale générale, à peine moins en technologique). Il continue d’agir pour améliorer les conditions de travail des personnels durant la session.
Consulté, ainsi que les autres organisations syndicales, sur un calendrier prévisionnel, le SNES-FSU :
– se félicite de la possible avancée des épreuves écrites anticipées de Français. Il continue de demander des consignes nationales libérant les professeurs de français des tâches de surveillance une fois leurs copies récupérées, ainsi que des dates nationales pour les oraux ;
– insiste sur la nécessité d’avancer le début de la session : si les épreuves commençaient le 15 juin (comme en 2016), le 15 juin n’étant plus un mercredi comme en 2016, mais un jeudi, il s’ensuivrait que l’amplitude de correction s’en trouverait réduite. En effet, il faudrait avoir terminé la saisie des notes le vendredi 30, le 1er juillet étant un samedi (c’était un vendredi l’an passé).
Une saisie des notes décalée au lundi 3 juillet ne saurait constituer une solution satisfaisante, tant pour les correcteurs que pour les personnels des rectorats.
Il est nécessaire d’améliorer les conditions de correction, et donc d’avancer le début de session au 13 juin.