Dans une réponse aux député·es, lors des débats après son discours de politique générale le 14 janvier 2025, François Bayrou a affirmé que « le nombre de postes qui sera mis au concours ne baissera pas ». C’est faux car si le nombre de postes ouverts reste toujours inconnu dans le premier degré, il diminue de -5 % par rapport à 2024 pour les CAPES externes, -10 % les CAPET externes, -8% pour les CAPLP externes et -22 % pour les troisièmes concours. Mais il est encore temps pour le Premier Ministre de combler l’écart entre ses propos et la réalité des chiffres en corrigeant le nombre de postes à la hausse !
Le ministère projette de relever le seuil d’obtention de l’ASSR2 à 14/20 ce qui aura pour conséquence d’écarter environ 30 % des élèves. L’ASSR2 est nécessaire pour passer son permis de conduire.
Bravo parce que les élèves des collèges et des lycées ont besoin de vous : enseignant·es, CPE, Psy-EN ! Retrouvez dans notre tract les informations essentielles sur les affectations, le déroulement de l'année de stage, le classement financier et une présentation complète du SNES-FSU.
La FSU s'oppose à la réduction de 10% de la rémunération en cas d'arrêt maladie. La rémunération des fonctionnaires est la reconnaissance de leur investissement au quotidien pour l'intérêt général. Elle ne doit pas être une marge de manœuvre budgétaire
Logo FSU, engagés au quotidien
Annulation des suppressions de poste, réseaux sociaux, groupes de niveau, projets de programmes, parcoursup 2025… voici quelques thématiques de cette US. Bonne lecture !
Le 20 janvier, jour de l'investiture de Donald Trump, le SNES-FSU cessera ses activités sur le réseau social X.
Nos luttes peuvent payer grâce à l’action syndicale. Alors, souhaitons- nous une belle année syndicale et… victorieuse !
Sophie Vénétitay, secrétaire générale du SNES-FSU
À cette heure la FSU n’est pas invitée à la réunion de ce vendredi, organisée sous l’égide du Premier ministre et devant débattre de la méthode prétendument inédite pour envisager les possibilités de sortir de la crise sociale durablement inscrite par le passage en force sur la réforme des retraites de 2023. 
Plus personne n’échappe à l’invasion des différentes formes de l’intelligence artificielle (IA) dans la société, et particulièrement dans le domaine de l’Éducation. Les plans de formations académiques les mettent désormais largement en avant. Les publicités pour des outils nouveaux pullulent, vantant un métier facilité et libéré de tâches présentées comme contraignantes ou pénibles, y compris celles au cœur de la relation pédagogique avec les élèves. Face à la crise de recrutement, des rectorats se lancent dans des expérimentations pour gérer le remplacement des professeur·es, voire certaines activités pendant le remplacement. Se profile l’objectif de former les professeur·es à l’IA mais plus encore de les faire enseigner par l’IA.
Dans le cadre des requalifications des emplois de la Fonction publique, le SNES-FSU revendique l’unification des corps de professeur·es du second degré dans un corps revalorisé de professeur·es agrégé·es, et une dynamique comparable pour les CPE et PSY-ÉN.
Le CSE du 16 janvier aurait pu être l'occasion d'adopter le programme d’Éducation à la sexualité (EVARS) mais il faudra (encore) attendre la prochaine séance des 29 et 30 janvier. De nouveaux textes sur les groupes de niveau sont aussi annoncés. Dans sa déclaration préalable ce 16 janvier, le SNES-FSU a prévenu la ministre des lignes rouges à ne pas franchir : elle sera présente à la prochaine séance pour répondre.
Fort des résultats de l’enquête collège et de sa victoire en conseil d’État, le SNES-FSU se met au côté des personnels mobilisés pour préparer la rentrée scolaire prochaine et faire tomber définitivement la réforme du « Choc des savoirs ».
Non à l'école du tri social. Les groupes de niveaux c'est non !
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