Nos organisations syndicales CGT, UNSA, FSU, Solidaires, CFE-CGC constatent la grande insuffisance des premières réponses faites par le ministre de la Fonction publique et l’ensemble du gouvernement aux revendications et aux propositions exprimées très massivement notamment dans la grève et les manifestations du 5 décembre dernier ou dans tous les cadres du dialogue social.
Confronté à la pénurie d’enseignant·es, le ministère cherche à fidéliser celles et ceux qui atteignent une dizaine d’années d’exercice. Rien n’est prévu pour la suite de la carrière et les inégalités d’accès à la classe exceptionnelle persistent...
Évaluez vos pertes avec le simulateur de la FSU. Continuons la mobilisation face à cette mesure injuste et brutale !
Le SNES-FSU vous donne l’ensemble des outils pour agir dans le cadre de la préparation de rentrée 2025 (tracts, TRMD, motions...) après la publication de l'arrêté visant à reconduire les groupes de niveau en 6ème et en 5ème.
Le conseil d'administration de juin ou juillet est souvent l’occasion d’affiner la répartition de la DHG pour la rentrée de septembre. Ce tableur est proposé par le SNES-FSU pour aider les personnels à construire un TRMD à partir de la DHG (Dotation horaire globale).
Contexte national et international, formation continue, programmes, santé scolaire, groupes de niveau, bac 2026, Parcoursup… voici quelques thématiques de cette US. Bonne lecture !
Le SNES-FSU appelle à participer aux rassemblements du samedi 12 avril.
Orienter dès la maternelle ? Révélateur de la politique éducative macroniste qui nie le temps de grandir, d’apprendre, de rêver, de se tromper, de réfléchir, de tâtonner. Alors, à bas ParcourSup et non au « Choc des savoirs »… et longue vie à Tchoupi !
Tous et toutes dans l'action pour la journée internationale de lutte des travailleurs et des travailleuses.
Malgré les doutes exprimés par la Ministre devant le Sénat, un décret et un nouvel arrêté ont été publiés au JO pour maintenir les groupes de niveau en Sixième et Cinquième. Elisabeth Borne en a atténué la portée en annonçant de prochaines recommandations.

Après le lycée en trois voies, l’enseignement supérieur en France offre des poursuites d’étude post-bac diversifiées. Parmi celles-ci, les Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE) qui s’ouvrent de plus en plus aux bacheliers technologiques.
Le SNES-FSU s’est adressé au ministère pour obtenir des consignes explicites permettant aux collègues de français et de philosophie d’être dispensé·es des surveillances des épreuves écrites du baccalauréat.
Loin d'une égalisation des conditions, on assiste à la persistance des inégalités économiques, voire, ces dernières décennies, à leur creusement. Cette situation déplorable s’explique notamment par le triomphe de l’idéologie faisant du mérite la justification d’écarts de richesses parfois insensés, mais aussi par l’érosion des mécanismes collectifs susceptibles de les atténuer.
Au programme : un dossier centré sur les insoutenables inégalités, le retour du protectionnisme, la protection de la jeunesse, les AESH précaires et indispensables, le conseil médical départemental, les attaques de l’Office français de la biodiversité… et bien d’autres choses à découvrir dans ce nouveau numéro.
Chaque année, le ministère présente aux instances un nouveau thème de TIPE et de français & philosophie pour les deuxièmes années des CPGE scientifiques et un nouveau thème de lettres & philosophie pour les deuxièmes années des CPGE économiques et commerciales. Voici les différents thèmes pour 2025-2026.
Se gardant bien d’admettre que la faiblesse des salaires et la dégradation des conditions de travail, surtout à l’entrée dans le métier, expliquent la crise de recrutement, E. Borne fait le choix de placer le concours en milieu de licence 3, soit 2,5 ans après l’obtention du bac Blanquer ! Le SNES-FSU s'oppose à cette réforme qui remet en cause l'identité professionnelle des CPE et professeur·es du second degré.
Le conseil d'administration de juin ou juillet est souvent l’occasion d’affiner la répartition de la DHG pour la rentrée de septembre. Mettre fin aux groupes de niveau en mathématiques et en français est l’objectif à atteindre.
Après la mise en œuvre d’expérimentations (uniforme, pause numérique, internat éducatif...) le ministère a diffusé en janvier son « plan pour la tranquillité scolaire » avec pour objectif « apaiser-protéger-responsabiliser », s’accompagnant de la création de 150 postes de CPE et 600 d’AED répartis dans toutes les académies. Il s’agit, pour la ministre, par ces quelques moyens supplémentaires de restaurer l’ordre et l’autorité. Le 6 mars, a été adoptée une proposition de loi sénatoriale qui permet la fouille inopinée des élèves « en cas de menace pour l’ordre et la sécurité au sein de l’établissement » par le chef d’établissement, son adjoint·e ou le ou la CPE. Au Conseil supérieur de l’Éducation du 27 mars a été présenté un décret sur « le renforcement de la procédure disciplinaire », là aussi, une réponse répressive, un pas de plus vers la judiciarisation en milieu scolaire.