Au-delà de la réaffirmation de notre opposition à cette déconcentration, la révision des LDG est pour la FSU l’occasion de porter ses revendications, dont sont détaillées ici les principales :
Retraite progressive
La FSU demande que l’autorisation de travailler à temps partiel soit systématiquement accordée aux collègues qui remplissent les conditions d’accès à la retraite progressive.
Professeurs, CPE, Psy-EN
- Information individuelle
La FSU demande que les éléments de barème utilisés lors des opérations de promotion ou d’avancement soient systématiquement communiqués aux intéressé·es.
- Rendez-vous de carrière
La FSU demande que les collègues qui n’ont pu bénéficier d’un rendez-vous de carrière, puissent contester, comme les autres, l’appréciation de la valeur professionnelle portée sur la seule base des avis des supérieurs hiérarchiques.
- Classe exceptionnelle
La FSU demande l’instauration d’un barème prenant en compte l’ancienneté dans la plage d’appel afin de redonner de la transparence et de l’égalité entre les personnels sur l’ensemble du territoire. Un tel barème doit permettre de maximiser pour toutes et tous les chances d’accéder à l’indice sommital de son corps dans le cadre d’une carrière complète.
De plus, la FSU demande que, dans le système actuel, l’ancienneté cumulée dans les différents corps d’enseignement d’éducation ou d’orientation soit prise en compte comme critère de départage et qu’une attention particulière soit accordée aux collègues qui ont atteint l’indice maximal de la hors-classe.
Personnels administratifs, sociaux et de santé
La FSU demande que des barèmes puissent être utilisés pour ces opérations.
La FSU continuera de porter ses revendication pour une amélioration des carrières pour toutes et tous. C’est un élément incontournable de la revalorisation que nous exigeons, en complément de l’augmentation de la valeur du point d’indice et de son indexation sur les prix, et du relèvement général des grilles