Encore une fois, on peut regretter qu’il porte sur des notions déjà travaillées dans l’ancien programme, ne laissant pas constater ce qui pourrait être attendu sur des notions introduites dans le nouveau programme telles que le son, les signaux, l’univers, etc…
Le début du sujet porte sur l’étude d’une chronophotographie d’un mouvement de snowboardeuse en mécanique.
Une question, sans doute la plus difficile de l’épreuve revient à demander à l’élève de tracer un vecteur vitesse. Une interprétation ambitieuse permet d’estimer que cela fait partie du programme. Ce programme, trop dense, laisse à peu de collègues le temps de travailler sur les vecteurs vitesses. Ils travailleront plutôt la notion de segment fléché proportionnel à une valeur dans le chapitre consacré aux forces.
Deux questions de chimie, intéressantes, concluent ce sujet.
Paradoxalement le sujet de la série professionnelle semble plus complexe que celui de la série générale.
Si on se croit parti pour un sujet de chimie traitant de la distillation et de l’osmose inversée, il s’agit plutôt d’un sujet consacré à l’énergie accompagné de deux questions de chimie. Vocabulaire et schéma peuvent effrayer un élève de troisième.
La relation mathématique de l’énergie est donnée sous la forme directe à utiliser dans l’exercice. L’application numérique n’est donc pas très difficile mais ce sujet demeure plus calculatoire que celui de la série générale.
Si ce n’est la modélisation de l’eau et de l’eau salée comme un état dispersé sans doute pour ne pas encombrer la représentation, ce sujet est bien construit et pourrait être un sujet de série générale.