Quatre points sont particulièrement alarmants :
– diminution de l’horaire disciplinaire – comme malheureusement l’ensemble des autres disciplines… ;
– … qui se conjugue à une globalisation de l’horaire avec la Physique-Chimie et la Technologie ;
– diminution des (maigres) moyens d’autonomie qui permettaient encore, dans les cas favorables, la mise en place de quelques groupes de science ;
– la disparition hautement probable de l’obligation d’enseignement en groupe à effectifs réduits (même sur une heure quinzaine) en 6ème.
Le SNES défend des enseignements disciplinaires bien identifiés, organisés en cohérence avec les autres disciplines et permettant des approches interdisciplinaires ancrées dans l’horaire disciplinaire, et bien évidemment un enseignement des Sciences en groupes à effectifs réduits.
Il est important que la mobilisation le 3 février soit la plus importante possible pour défendre notre profession en termes de rémunération, de métier et de conditions de travail.