Dans l’architecture du futur examen, les options sont de fait exclusivement évaluées dans la part de contrôle continu établie via les bulletins trimestriels, et pèsent au mieux pour un peu plus de 1% de la moyenne générale. De plus, dans le cadre de la répartition locale des dotations horaires, les options ne bénéficient d’aucun moyen fléché. Comment, dans ces conditions, valoriser et populariser tous les enseignements optionnels : Langues vivantes étrangères et régionales, enseignements artistiques, latin et grec, EPS ? Cette question montre que c’est bien la globalité des modalités prévues d’évaluation des élèves qui pose problème. Il nous semble donc qu’on ne peut procéder uniquement à quelques réglages et que l’opportunité est offerte de revoir l’ensemble du dispositif. Le SNES-FSU souhaite donc voir revu le décret et les arrêtés sur le baccalauréat dont l’économie n’est pas acceptable. En effet, le poids du contrôle local et continu risque de transformer l’examen en une procédure très complexe et le diplôme national en certification maison. A cet égard, des épreuves terminales et nationales sont les garanties les plus sûres de la simplicité et de l’égalité de traitement des candidats. Lire ci dessous le courrier envoyé au Ministre en date du 18 octobre.

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