Mardi 1er mars, les enseignants, les parents d’élèves et les lycéens protestaient contre les dotations insuffisantes prévues pour la rentrée. Suppressions de postes, fermeture d’option (LV3 espagnol), menaces sur les enseignements artistiques, les langues anciennes, qualifiées de « sauvages » par le rectorat pour justifier leur non-financement… À cette liste déjà longue, il faudrait ajouter la fin des dédoublements en AP. Cette action fait suite aux manifestations et grèves avant les congés de février, la rencontre au rectorat du 9 février n’ayant pas levé les motifs de mécontentement. En plus de la réforme du collège, le manque de moyens en lycée pour septembre prochain est une raison supplémentaire pour se mobiliser contre la politique éducative du gouvernement.
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