S’ils le disent !
Ce qui anime les fonctionnaires s’appelle tout simplement des convictions et le sens de l’intérêt général. C’est l’un des puissants remèdes à la crise sociale et démocratique du pays.
Alors poursuivons nos luttes… d’intérêt général !
Collectivement
Le SNES-FSU, premier collectif de professionnels de l’Éducation – et ce ne sont pas que des mots – permet à toutes et tous de se concerter, s’informer et échanger, d’obtenir un conseil, de faire jouer les solidarités. Les politiques menées ces dernières années ont abîmé nos professions, réduit le temps disponible pour se poser et penser son métier, enseveli les collègues sous des injonctions contradictoires.
Puni·es !
Parce que nous sommes fier·es d’être fonctionnaires, professionnels de l’Éducation nationale, refusons ces mesures vexatoires et portons nos exigences de ruptures économiques, sociales et environnementales.
Octobre
Continuer à exercer nos métiers avec détermination et fierté pour opposer à l’obscurantisme notre confiance en la jeunesse et en l’humanité.
“Techniquement possibles”
Après avoir gagné la bataille de l’opinion publique sur l’état de l’École que plus personne ne conteste, le SNES-FSU, les deux pieds dans le réel, organise la mobilisation : en grève le 1er octobre et préparons les suites !
Jeux dangereux
L’ex-majorité présidentielle se voit décerner, sans aucune contestation possible, la médaille d’or du déni démocratique.
Résister, agir et lutter !
Quel que soit le résultat, le syndicalisme, en particulier celui du SNES et de la FSU, est, plus que jamais, l’espace de l’action, de la défense individuelle et collective, des luttes et, d’une certaine manière, de l’espoir.
Vertige et espoir
Dimanche 9 juin, la sidération, la colère, la peur pour nos élèves, nos collègues, l’Ecole, la démocratie. Puis l’espoir : manifestation, unité syndicale, union à gauche….battre l’extrême droite devient un espoir, une nécessité et une urgence !
Billet d’absence
Facile Madame la Ministre d’aller disserter sur un plateau de télévision sur l’état de l’École publique et le « Choc des savoirs »… sans aucun élu syndical représentatif de la profession pour vous répondre !
Même rengaine
Un tabou à lever ? Visiblement, Stanislas Guerini a décidé de se lancer dans la course à la médaille d’or de la provocation et de la bêtise face à l’inégalable Amélie Oudéa Castéra.
Historique !
Les combats féministes sont donc des luttes pour les droits des femmes. Pour l’égalité. Mais ils sont aussi des combats pour la démocratie.
Point de bascule
Avancer dans la bataille des idées, construire le rebond de l’action et l’ancrer dans la durée … la bascule est là, pour gagner pour l’École publique, ses personnels et ses élèves.
Retour de flamme
Médaille d’or de la provocation, du mépris et du mensonge pour Amélie Oudéa-Castera. Place au match retour dans la rue dès le 1er février, pour l’Ecole publique, nos salaires et nos conditions de travail !
Réarmer ? Plutôt lutter et….gagner !
Pour 2024, souhaitons-nous le meilleur et…gagnons-le ensemble ! Dans les luttes dès janvier, dans la grève du 1er février pour des personnels mieux payés, respectés, protégés, des conditions de travail et d’étude améliorées.
Père Noël ou Père Fouettard ?
En cette fin d’année, le ministre Gabriel Attal tente de se transformer en Père Noël. Mais derrière le paquet cadeau orné d’un ruban pailleté que trouve-t-on ?
Dans le viseur
Plusieurs voix, dont celle du SNES-FSU, ont dénoncé la tenue du colloque de Parents Vigilants au Sénat. Mais une voix manque à l’appel et non des moindres. Celle du ministre de l’Éducation nationale. Un silence coupable et irresponsable à l’heure où, face aux obscurantistes et aux réactionnaires de tous bords, vecteurs de haine et de peur, défendre une École émancipatrice, ouverte et universaliste est devenue une question de survie de la démocratie.
Arrière toutes !
Quel retour en arrière ! Une École où les élèves ne se mélangent pas, chacun dans son couloir d’un 100 mètres, modélisant les carcans sociaux… bref, un renoncement à les faire progresser en les confrontant à la diversité;
Certainement pas !
Propos méprisants de députés ? Le SNES-FSU ne baissera jamais les yeux ni la voix dès lors qu’il s’agit de défendre l’École publique et de porter haut et fort votre parole, en particulier face aux fossoyeurs du service public et de la démocratie.
Hypocrisies
Emmanuel Macron prétend vouloir sortir des “hypocrisies françaises” ? Mais de quelles hypocrisies parle-t-il ? Évoquons plutôt les siennes…
Devoir d’humanité
Alors que l’intolérance semble être la boussole politique d’un nombre grandissant de nos politiques, l’heure est à réaffirmer et faire vivre notre exigence, sinon notre devoir, d’humanité.