Nous remercions tous les collègues qui ont répondu au questionnaire (voir ici), qui a fait apparaitre des problèmes réels. Cette enquête permet d’affirmer que la dégradation n’est pas circonscrite à quelques académies et qu’elle touche plusieurs aspects de l’organisation du baccalauréat :
- inégalités des conditions en fonction des académies, voire à l’intérieur des académies
- alourdissement extrême de la charge de travail
- organisation chaotique, en particulier en région parisienne
- déni (par les rectorats comme les chefs d’établissement) des difficultés auxquelles sont confrontés les examinateurs, etc…
Constater, c’est bien ; agir, c’est mieux !
Le SNES est intervenu pour que les collègues aient de nouveaux leviers d’action et que leurs conditions de travail s’améliorent.
A partir des revendications que l’enquête a permis de définir, le SNES-FSU a proposé un avis – adopté à l’unanimité – en CHSCT Ministériel le 21 novembre 2016. Les recommandations portent à la fois sur les conditions de correction des copies et de passation de l’oral, sans oublier la dispense des surveillances d’examen pour pouvoir préparer l’oral. L’avis est à lire sur notre site.
Parallèlement, un courrier a également été envoyé à la ministre (à lire ici). Il semble que les rectorats en aient déjà eu des échos…