La FSU exige la vaccination accélérée et prioritaire
pour les personnels de l’Education nationale.

Si l’Éducation nationale est bien la priorité que vante le gouvernement, tous les moyens et toutes les énergies doivent être mobilisés pour la faire vivre au quotidien et pour protéger les agents. La vaccination doit être un outil intégré à une stratégie cohérente et complète de de protection et de prévention (capteurs de CO2, limitation du brassage, mesures pour la cantine, campagne massives de tests et règles d’isolement plus strictes etc). Jusqu’ici, et depuis un an, l’Éducation nationale n’avait ni l’un, ni l’autre. (voir notre article : vaccination, le grand vide)

Les annonces d’Emmanuel Macron le 23 mars ouvrent la porte à une vaccination prioritaire et rapide des enseignants. Ces déclarations viennent enfin reconnaître le rôle incontournable des enseignants, mais aussi leur exposition particulière dans le contexte sanitaire actuel. Reconnaissance que Jean-Michel Blanquer n’avait jamais daigné esquisser.

Mais cette annonce doit être absolument précisée : tous les personnels de l’Education nationale doivent être concernés (CPE, PsyEN, AED, AESH dans le second degré), un calendrier avec des engagements fermes sur un début de vaccination début avril doit être donnée (et non pas un très vague « à partir » qui peut renvoyer vers la fin de l’année scolaire) et des réponses pratiques doivent être apportées sur l’organisation de cette opération.

Continuons à agir pour obtenir une vaccination prioritaire
pour les personnels de l’Éducation nationale.

Le communiqué de la FSU


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